Restauration et aménagement du Castel Gesta - Toulouse (Haute-Garonne)
Arc&Sites, architecte mandataire @ photo MC Desalbres
Tombée dans l’oubli depuis près d’un siècle, la manufacture Gesta
de Toulouse – l’une des deux plus importantes manufactures de vitraux en France
au XIXe siècle – représente un unicum. Construite dans les faubourgs de la ville à
partir de 1860, elle se compose d'ateliers, bâtiments d’exposition, bâtiments
administratifs et de l’ancienne résidence de Louis-Victor Gesta son fondateur. Cet
édifice remarquable du XIXème siècle, classé Monument Historique.
squatté et vandalisé après des décennies d’usages successifs, retrouve ses couleurs et son usage d’origine au terme de six années d’études et de restauration menée par Arc&Sites.
Castel Gesta se présente comme un véritable palais urbain médiéval. Il possède une galerie des Illustres - la seconde du genre avec celle du Capitole - à la gloire des artistes et personnalités de Toulouse et de sa région (Cujas, Antoine Rivalz, Pierre de Fermat, Pierre-Paul Riquet, Jean-Paul Laurence, Benjamin Constant). Sa restauration a permis la renaissance de ses décors signés Bernard Bénezet (ami du maître-verrier et disciple d’Hippolyte Flandrin) et la redécouverte de deux de ses peintures murales inédites : L’Académie des jeux floraux et L’Académie royale de peinture, sculpture et architecture. Un chef-d’œuvre dont les historiens déploraient jusqu’ici la perte.
squatté et vandalisé après des décennies d’usages successifs, retrouve ses couleurs et son usage d’origine au terme de six années d’études et de restauration menée par Arc&Sites.
Castel Gesta se présente comme un véritable palais urbain médiéval. Il possède une galerie des Illustres - la seconde du genre avec celle du Capitole - à la gloire des artistes et personnalités de Toulouse et de sa région (Cujas, Antoine Rivalz, Pierre de Fermat, Pierre-Paul Riquet, Jean-Paul Laurence, Benjamin Constant). Sa restauration a permis la renaissance de ses décors signés Bernard Bénezet (ami du maître-verrier et disciple d’Hippolyte Flandrin) et la redécouverte de deux de ses peintures murales inédites : L’Académie des jeux floraux et L’Académie royale de peinture, sculpture et architecture. Un chef-d’œuvre dont les historiens déploraient jusqu’ici la perte.
Arc&Sites, architecte mandataire @ photo MC Desalbres
Arc&Sites, architecte mandataire @ photo Arc&Sites
Arc&Sites, architecte mandataire @ photo Arc&Sites
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